Chaque soir, pendant deux jours, nous avons offert un repas dans la salle communale du village, précédé d’une présentation portant sur la « question animale » et sa politisation, le spécisme, la végéphobie et sur la revendication d’abolition de la viande. En tout, plus de 15 personnes ont participé à l’événement et ont manifesté beaucoup d'intérêt. La plupart d’entre elles étaient végétariennes ou mangent rarement de la viande. Une ou deux personnes défendaient, quant à elles, la consommation de viande. Les fermiers, propriétaires de bétail du village, ne sont pas venus. Tous les soirs, les discussions, débutées pendant le repas, se sont poursuivies jusqu'à tard.

Chaque soir, pendant deux jours, nous avons offert un repas dans la salle communale du village, précédé d’une présentation portant sur la « question animale » et sa politisation, le spécisme, la végéphobie, et sur la revendication d’abolition de la viande. En tout, plus de 15 personnes ont participé à l’événement et se sont montrées franchement intéressées. La plupart d’entre elles étaient végétariennes ou mangeaient rarement de la viande. Une ou deux personnes défendaient, quant à elles, la consommation de viande. Les fermiers, propriétaires de bétail du village, ne se sont pas présentés. La discussion s’est tenue pendant le repas et s’est poursuivie jusque tard dans la soirée.